Le parc dont j’ai oublié le nom
Grâce à ma voisine française (qui-se-fait-appeler-« moi »-et-qui-pourrait-d’ailleurs-trouver-un-autre-pseudo-plus-pratique-!) j’ai découvert un parc dans le district de Panyu, à une demie-heure de route de la maison.
Je ne connais pas l’histoire de ce parc. Nous l’avons visité sans guide.
Voici ce que nous avons observé :
- Il s’agit d’anciennes carrières.
- Dans le parc, se dressent une immense statue et un temple.
- C’est un lieu de culte où les dévots se rendent pour faire des offrandes à leur Dieu.
- Les marchands le savent bien et se pressent aux portes du parc.
Nous y avons fait une agréable promenade, toutefois, il faut avoir de bons mollets :
A propos des dévotions, voici ce que nous avons vu :
A l’extérieur du parc, et aussi sur un ou deux stands dans le parc, les marchands vendent de délicates constructions de papier (papier monnaie) qui serviront d’offrandes. Ils vendent également des bâtons d’encens de toutes tailles.
Les fidèles prient et font brûler les offrandes de papier. Il faut des heures, et des heures pour les réaliser, mais j’ai constaté qu’elles s’embrassent en une seconde !
Comme dans tous les temples, il y a un encensoir prévu pour accueillir les offrandes des fidèles. (asthmatiques s’abstenir !).
Le « papier monnaie » est brûlé à part.
Un peu plus loin, on essaie de lancer une piécette dans la gueule du lion. Celui qui y arrive verra son vœu réalisé.
Encore quelques mètres, et on atteint un arbre couvert de rubans rouges.
Sur le ruban, on inscrit un vœu, ou une prière…
Ensuite on lance le ruban dans les branches. S’il reste accroché, le vœu se réalisera ! Ce sont les « superstitions » du bouddhisme. Nous n’en connaissons pas encore plus de cette « philosophie (ou ?) religion ». Quoi qu’il en soit, nous avons fait voltiger les rubans.
Mais quel était le vœu de Petit Loup ? Une PSP ? Des PlayMobils® ?
Bons baisers de Canton,
Les Chinoisiers